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 Claquant des doigts je me trouverais au paradis.

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S.PELLEGRINO
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S.PELLEGRINO


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MessageSujet: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeJeu 23 Avr - 21:06

__PRÉSENTATION D'ITALIAN VALIENTE__

D'un claquement de doigts tu te retrouveras au paradis, m'a dit l'ange venue auprès de moi. Mais mon bon monsieur lui répondis-je, le paradis ne peut exister puisque vous même n'êtes que le fruit de mon imagination. Et il s'en fut sans un regard en arrière. Voilà comment par mon arrogance, j'ai perdu toute chance de trouver meilleure existence.


    ________________________________________________

    NOM :: Comme tout le monde j’ai un nom ; Quelques syllabes qui permettent aux autres de se souvenir de moi, de pouvoir me nommer. Lors de ma naissance je me prénommais simplement Pellegrino. Un mot qui sonnait un peu italien et que j’appréciais. Aujourd’hui le fil de mon histoire a fait que je m’appelle San Pellegrino.
    AGE :: Si mes souvenirs sont bons il doit y avoir un peu plus de six années que je vis entre débauche et luxure. Mais l’âge ne dit rien quant à l’individu et il serait bon de ne pas me juger par rapport à cela ; Vous pourriez être déçu.
    SEXE :: Ai-je seulement le physique d’une jument ?!

    QUALITÉS :: cf caractère
    DÉFAUTS :: cf caractère
    AIME :: cf caractère
    AIME PAS :: cf caractère
    ________________________________________________

    CARACTÈRE :: Petit j’ai toujours voulu être aimé et selon beaucoup j’étais le rayon de soleil du troupeau. C’est vrai qu’à ce moment j’étais différent. Tout le monde m’appréciait et dans une certaine mesure j’avais réussi à obtenir la gloire que plus tard j’ai perdu. Je connaissais l’amour et l’amitié ce que maintenant je ne sais plus ressentir. D’ailleurs si je rencontrais quelqu’un d’antan je jure qu’il ne me reconnaîtrait pas. L’amour est devenu haine, l’amitié, rancœur. Malgré ça je n’oublie pas et ceux avec qui j’avais de bonnes relations sont resté gravés dans ma mémoire. Cependant je doute que si un jour ma route croise la leur je pourrais soutenir leurs regards de reproche. Parce que j’en suis certain tous ces individus ont aujourd’hui étaient déçu par mes gestes. Moi-même j’en suis déçu et chaque jour est une torture. Comme j’envie tous ceux qui arrivent à enlever dans leurs têtes toutes ces choses qu’ils regrettent ; Je n’ai pas cette chance et la douleur profonde de ma culpabilité est comme une lame chauffée à blanc, fichée dans mon cœur. Mais j’ignore pourquoi je vous raconte tout ça, je vois déjà vos yeux qui me fuient et expriment votre regret de m’avoir demandé de me raconter. Je me suis détruit et j’ai détruit plusieurs autres personnes qui m’étaient chers. Allez-y dites moi ce que vous pensez, reprochez-moi mes paroles et mon passé. Je n’aurais pas du me dévoiler ainsi, ce n’est pas mon genre. Il faut savoir se taire quand on a fait ce que j’ai fait. Je m’en veux, je m’en suis toujours voulu. J’ai l’impression depuis de trop nombreuses années de vivre avec une personne que je ne connais pas. Je ne me reconnais plus. Au monde celui que je hait le plus est moi-même, je me serais tué déjà depuis longtemps mais j’ai besoin de revoir ces êtres que j’ai brisés. J’ai besoin de leurs offrir la chance de pouvoir me voir mourir sous leurs coups comme ils ont vu mourir leurs proches sous mes coups. J’en ai besoin. Je sais que tout ceci ne me lavera pas de mes pêchés, il y en a trop. Cela me donnera peut être seulement un instant de liberté, de me croire moins coupable que je ne le suis. Quelle belle illusion ! Je rêve d’abandonner ce monde. C’est aujourd’hui le seul souhait que je puisse faire. Les petits bonheurs qui autrefois me rendait heureux, ne sont plus que des façons de me sentir plus horrible encore. Non vraiment je me hait, me déteste. Mon corps et devenue celui d’un meurtrier qui ne mérite que l’exile, quelque chose de pire que la mort. Errer dans l’infini, seul pour réfléchir à tout cela. Ce serait la sentence qui me conviendrais le mieux. Quand est ce que l’on me l’accordera ?Je suppose que jamais je n’y aurais droit, que ma mort sera douce et indolore. Que se sera une fin que beaucoup souhaitent et que moi je répugne. Mourir de cette façon serait donner raison à l’âme meurtrière qui sommeille en moi, lui donner la satisfaction de ne pas se faire punir pour ce qu’elle a fait endurer à tout le monde, ce qu’elle m’a fait endurer. Par pitié laissez moi me laver de toutes ces morts qui pèsent sur moi, laissez moi oublier. Laissez moi me reconstruire. Croyez-moi lorsque je vous dit que je n’y suis pour rien.
    Ce jour là, ce n’était pas moi.
    HISTOIRE :: Cela aurait pu être une belle histoire, un conte comme ont raconte pour endormir nos enfants. Le début aurait fait l’affaire. Imaginez le ciel bleu et les chants d’oiseaux se mêler aux hennissements doux d’une mère pour son fils qui s’en éloigne un peu trop. Imaginez le galop innocent d’un jeune poulain qui vient de rentrer dans la vie et qui en ignore encore le sens. Imaginez. A l’époque on vivait dans l’harmonie, les conflits étaient rares et la confiance régnait en maître incontesté. Le troupeau demeurait un espace de réconfort. C’était mon cocon, là où le malheur n’arrivait jamais. Là où chaque chose m’était favorable. Aujourd’hui j’ai du mal à me dire qu’un tel endroit existait réellement. Mais c’était vraiment le cas. Pas une fois je me souviens avoir eu de la peine ; A ce moment j’ignorais que le destin nous surveillait du coin de l’œil, que j’étais sa cible première. Je grandissais à l’ombre protectrice de ma mère. Les autres jeunes étaient mes amis et je me souviens même avoir été amoureux. Évidement elle était jolie, jolie et inaccessible. A TROUVER était la fille du dominant. Un étalon que je respectait comme mon propre père et qu’au fond de moi je prenais comme modèle. Il y avais aussi A TROUVER 2. Entre nous l’amitié était forte et l’ont s’étaient juré de toujours pouvoir compter l’un sur l’autre. Quelle belle innocence que celle de la jeunesse ! Ou plutôt devrais-je dire insouciance. Bref, je vivais au jour le jour, me préoccupant que peu de ce qui m’arriverais une fois grand. C’est bien connu lorsque l’on est petit on rêve de devenir adulte et d’obtenir son indépendance ; Moi non. Être petit et dépendant me plaisait et maintenant je continue de regretter d’être devenu comme je suis. Si j’était toujours resté poulain je n’aurais jamais connu ce que je connais aujourd’hui. Mais on ne choisit pas ces choses là et en cet instant je rêvait seulement de retrouver mon père. Une quête qui devint vite mon but ultime. On ne me rendait pas cela facile ; les rares questions que je posaient à son propos étaient habillement détournés. J’en conclu que je ne pouvais compter sur personne et que mon père était quelqu’un de peu apprécié, ou au contraire que l’on ne pouvait dévoiler son identité secrète. Évidement la deuxième raison fut celle que j’adopta.
    Si j’avais su.

    Ainsi pendant de longs mois j’ai vécu en étant certain que mon paternel était absent pour une raison tenue secrète donc importante. La fierté me rendait heureux ; et aveugle. C’est l’année de mes deux ans qu’il réapparut. Le troupeau était tendue, anxieux et le père de A TROUVER se montrait chaque jour plus nerveux, accentuant la surveillance du coin et surtout de ma mère et moi. Dans ma tête il s’agissait de nous faire une surprise, mais avant lui fallait que mon père révèle ce qu’il avait trouvé lors de sa mission. Oui parce qu’il était devenu un espion dans mon esprit imaginatif. Un soir il est arrivé, affublé de deux autre étalons aux carrures puissantes. Autour de moi tout le monde reculait et si j’avais fait attention j’aurais pu lire de la crainte dans les yeux des anciens. Mais je ne voyais qu’un grand mâle noir de jais à l’allure fière et mon cœur aurait pu exploser tant j’étais moi aussi fier d’être son fils. Ils s’étaient arrêtés à quelques mètres de nous, les paroles basses qu’il échangea avec le dominant personne les entendit mais cela devint rapidement houleux. Immobilisés par l’étreinte maternelle j’assistais impuissant la discussion puis au départ de mon père qui sans le vouloir ficha son regard dans le mien. Persuadés de ce que je pensais à l’époque, je crus y lire une invitation. La nuit suivante je fuyais le troupeau, certain de faire le bon choix.
    Si j’avais su.

    Les trois acolytes me retrouvèrent un peu plus loin, mon père me fit un long discours expliquant, sois disant, pourquoi il avait été absent et pourquoi il était revenu aujourd’hui. Je n’ai même pas cherché à comprendre, je l’ai cru sur parole. Selon le lui dominant était un imposteur qui, quelques années plus tôt, avais pris le contrôle du troupeau et par la même occasion lui avait volé sa dulcinée, ma mère. Il était revenu dans le but de reprendre ce qui lui appartenait. Ce fut sans une hésitation que j’accepta son offre, moi seul pouvait l’aider. A partir de ce jour-ci mes souvenirs sont douloureux. Je me rappelle avoir pendant des mois et des mois appris à me battre. J’était naïf et me faire avaler que tout ceci était dans le but de battre le père de A TROUVER pour reprendre le troupeau fut d’une étonnante facilité. J’ai honte aujourd’hui d’avoir été si aveugle face a cet individu qui profitait de moi. Lorsque je fut prés, on retourna voir le troupeau. Cette fois j’était aux côtés mon père, rayonnant de fierté. La fierté, à l’époque j’en était bourré. En face de nous les membres de sois-disant troupeau de mon père nous regardait avec animosité. Ou plutôt me regardait, j’étais en phase de devenir le pire individu qui sois. Certains me maudissaient, d’autres me plaignaient et moi je m’en fichais ; je ne les voyais pas. Il n’y eu pas de paroles échangées avec le dominant, simplement un ‘je te l’avais dit !’ Que mon père lui balança avec orgueil. Ensuite tout reste confus, je sais juste qu’au petit matin j’étais trempé de sueur et baigné de sang. A mes pieds gisait le père de celle que j’aimais. C’est son regard qui me fit comprendre mon acte. A ce moment je pris seulement conscience de toutes les morts que j’avais causée autour de moi.
    Si j’avais su.

    L’épisode qui suit est une suite de prise de conscience. J’ai erré longtemps, perdus. Au début je continuais à venir sur les lieux du crime comme pour me faire violence mais la haine que me vouais A TROUVER et tout les autres m’étaient insupportables. Comment avais-je pu tout gâcher de cette façon ? La réponse n’arrivait pas à forcer le passage de mon esprit et je demeurais abattus. Illogiquement mon père n’y était pour rien dans cette histoire et de mon point de vue, la faute était la mienne, seulement la mienne. Durant ce repli sur moi-même, j’avais des périodes de folie qui me poussaient à tuer. Ces crises me faisaient oublier le pire crime que j’avais commis et d’une certaine façon me laissait ensuite presque serein. J’étais comme dépendant de ces meurtres et animé d’une force que jusqu’à présent j’ignorais. Voir le sang maculé ma robe me donnait un plaisir indiscutable, comme un drogué pouvait avoir en consommant sa dose. Je devenais un monstre, poussé par un instinct animal qui plus tard se traduisit comme de la schizophrénie. Coupés de tout échange avec les miens, excepté mes victimes je devint fou et commença à parler tout seul. La rencontre avec mon père une journée d’automne fut pour moi presque une aubaine.
    Si j’avais su.

    Réfugié dans une grotte le groupe d’étalon m’isola durant plusieurs semaines pour éviter que je m’en prenne à eux. Le calvaire que j’endura fut horrible mais finalement réussi à me faire oublier ma dépendance et je redevint presque normal, excepté cette manie de me parler à moi-même, m’adressant au côté sombre qui avait fait mon malheur. C'est des mois après que je pu ressortir, mais il n'était plus question pour moi d'accompagner les trois mâles dans leurs rafles. Un soir où le ciel décida de verser toute sa colère, je dus me résoudre à passer la nuit dans une grotte. Mais je n'étais pas seul ; une jument a peine mois âgée s'y trouvait aussi. A TROUVER 3. Rongé par mon instinct d'animal, je réussis néanmoins à passer une nuit entière à parler avec elle. La confiance s'installe, l'amitié pointe le bout de son nez et je finis par m'endormir. Le matin elle n'est plus là. La déception se transforme en haine qui longtemps me rongera. Longtemps, du moins jusqu'à mes 4 ans voir plus, où mon père ramena une jeune jument. L’inconnue devient leurs jouet et plusieurs fois la proposition de m’amuser avec elle me fut faite. Je refusa chaque fois, touché par la pudeur de la jolie grise. Le premier soir où je me risqua à la voir, fut celui qui marqua réellement ma guérison. Au début de la relation, il ne se passait rien. A TROUVER 4 était prostré dans un silence butté et je ne fit que la regarder et apprécier sa présence. D’une certaine façon la côtoyer chaque nuit dans le plus grand des secrets fut pour moi l’occasion de renouer avec la vie. Peu à peu la confiance s’installa et parler de tout et de rien devint un rituel ; je lui faisait oublier l’espace de quelque heures sa séquestrations et elle me faisait oublier mes années de folie. Comme lorsque j’étais poulain je cru que cette situation durerais éternellement. La voir me soulageait chaque fois un peu plus et par pure égoïsme j’espérais que jamais elle ne partirait.
    Si j’avais su.

    Le jour où en remontant l’allée pour la retrouver, zigzaguant entre les corps endormis des enfoirés qui avaient brisé ma vie, je ne l’entendit pas m’appeler ce fut comme une petite mort. La seule ayant réussi à faire abstraction de me pêchés venait de fuir, m’abandonnant à mon sort désastreux. Poussé par la rancœur de ce geste j’ai longtemps cherché aux alentours, essayant de trouver une quelconque piste de son passage qui me ferais remonter à elle. Au fond de moi la voix qui me dictait mes meurtres et qui ne s’était manifesté depuis ma rencontre avec A TROUVER 4, se réveillait lentement. Bientôt je perdrait une seconde fois le contrôle d mon corps pour redevenir le monstre que je haïssait tant. Mais je ne voulais pas, je refusais de revoir ces corps affalés à mes pieds tandis que la voix s’estompait en moi, satisfaite de son acte, repu du sang qu’elle venais de faire couler. Il ne fallait surtout pas ! Sans chercher à comprendre, je fuis, forçant ma volonté à résister aux assauts de ma double personnalité. Le souvenir de A TROUVER 4 m’aiderais à tenir, il le fallait.
    Autres :: Oui il est fou, mais je l'aime ♥
    ________________________________________________

    AVIS SUR LE FORUM :: Horrible (a)
    DÉCOUVERTE DU FORUM :: pyh
    SEREZ-VOUS ACTIF ? Jamais, de toute façon je vous ai dit que je le trouvais horrible et en plus de ça peuplée de folles <3
    __AUTRE :: Tremblez pauvre mortels Panthou(fle) est dans la place Cool


Dernière édition par S.PELLEGRINO le Jeu 30 Avr - 22:14, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeJeu 23 Avr - 21:08

    GORE GORE GORE pervers
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeJeu 23 Avr - 21:11

    Non répète, après moi : GEORGE X)
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeVen 24 Avr - 5:49

    Nan pirat
    Bon bosse sur ta presentation toi tongue
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeVen 24 Avr - 12:35

J'veux un lien beuuh
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeJeu 30 Avr - 22:14

    FINIIIIS I love you
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeVen 1 Mai - 19:44

enfi' o_o
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitimeVen 1 Mai - 21:16

    boude tongue
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MessageSujet: Re: Claquant des doigts je me trouverais au paradis.   Claquant des doigts je me trouverais au paradis. Icon_minitime

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